Beauté fatale
POEMES
© Marie-Pierre GAUTIER CHARENTE
Je vois le soleil qui brille,  
Alors que je suis derrière une grille,  
Je serre les barreaux,  
Et mon regard va au très haut. 
 
Je lui demande liberté 
Car je suis accusé 
Accusé d'être trop beau 
Moi pauvre petit oiseau 
 
Enfin la porte s'ouvre, mais je ne suis plus… 
Ancienne demeure qui donne sur la rue 
 
De toi, je suis enfin libéré,  
Par la main de mon ROI bien aimé  
Pour qui, désormais, 
Je chante de ma plus belle voix, 
Pour l'éternité.