Nice, le temps d'un carnaval
POEMES
© Line Laurence GIOAN
Il règne un peu partout un air de chansons folles
Et la ville a le cœur inondé de couleurs
Tout semble aller au pas d'une gaie farandole
Que rythme avec brio la voix des haut-parleurs
La joie est de rigueur et dans ses doigts complices
Masques et confettis ont pris d'assaut les rues
Fredaines et flonflons nous tendent leur calice
Le temps d'un Carnaval que la foule salue
Car voici revenu dans sa ville natale
Ce bon roi de carton unique et sans rival
Qui du haut de son char la mine triomphale
De son règne en folie ouvre le premier bal
Niçoises et Niçois dans leur habit de fête
S'en donnent à cœur joie chacun de s'amuser
On se guette et le jeu vous tourne un peu la tête
Et Pierrette à Pierrot glisse un petit baiser
Plus tard quand dans la nuit s'éteindront les lumières
Et qu'il ne restera de ces folles chansons
Que quelques confettis accrochés aux paupières
Combien de dominos de masques et de loups
Finiront de rêver suspendus à un clou
Du rire plein les yeux jusqu'au dernier frisson.
Et la ville a le cœur inondé de couleurs
Tout semble aller au pas d'une gaie farandole
Que rythme avec brio la voix des haut-parleurs
La joie est de rigueur et dans ses doigts complices
Masques et confettis ont pris d'assaut les rues
Fredaines et flonflons nous tendent leur calice
Le temps d'un Carnaval que la foule salue
Car voici revenu dans sa ville natale
Ce bon roi de carton unique et sans rival
Qui du haut de son char la mine triomphale
De son règne en folie ouvre le premier bal
Niçoises et Niçois dans leur habit de fête
S'en donnent à cœur joie chacun de s'amuser
On se guette et le jeu vous tourne un peu la tête
Et Pierrette à Pierrot glisse un petit baiser
Plus tard quand dans la nuit s'éteindront les lumières
Et qu'il ne restera de ces folles chansons
Que quelques confettis accrochés aux paupières
Combien de dominos de masques et de loups
Finiront de rêver suspendus à un clou
Du rire plein les yeux jusqu'au dernier frisson.
